Ah la la, vous êtes difficile à satisfaire. Seulement 2 visites hier. Qu’est-ce que je vais bien raconter moi ?!? À part le fais que je tripe ben raide sur la botte d’asperges achetée samedi, je ne vois vraiment pas. 1,49 $, c’est toute une aubaine.
Ah oui, je vois. Twilight. C’est drôle parce que Myriam voulait voir ce film-là. Des amies lui avaient dit qu’après avoir accepté que le film en soit un d’ado, ça s’avérait ‘quand même pas si pire’.
Le verdict : Ouin, c’était ‘quand même’ cool. Je ne sais pas si Marc Cassivi lit ce blogue, s’il est 1 des 2 lecteurs d’hier je mange mes bas, mais il doit bien capoter. Il se dirait probablement : ‘Comment 2 presque trentenaire, qui s’auto-proclament avec du goût, peuvent-ils trouver des qualités à Twilight ? Et bien, les qualités qu’on y trouvent sont plutôt esthétiques. Les images sont très belles (même sur notre vieille télé à tube) et l’ambiance est tellement bien rendue que c’est presque de l’art. Mention spéciale au directeur photo. Sinon, l’histoire est cul-cul. On passe de l’indifférence entre les 2 personnages principaux à la passion en moins de 2. Tout va trop vite. L’intrigue finale est aussi un-peu-beaucoup-poche : un espèce de chasseur vampire capote beaucoup trop sur la jeune comédienne au nez fin.
Voilà. On a eu quand même beaucoup de plaisir en l’écoutant. Plaisir coupable quoi.
La maison du chum vampire est vraiment belle aussi. Déformation professionnelle.