mardi 16 décembre 2008

Soit critique Jean-Nick, soit critique

Aujourd’hui j’étais à l’École d’architecture. Oui, oui, mon ancienne école adorée. J’y étais pour faire le ‘critique invité’. Mon rôle consistait à faire comme ‘Simon’ dans American Idol, avec un peu moins de commentaires bitch, et à critiquer des projets d’étudiants de 2e année au Bacc. En architecture. J’aime bien jouer ce rôle, quoique ce ne soit pas aussi facile qu’il y parait. Sachant très bien que les étudiants y mettent leur cœur et y investissent leur vie pendant toute la session (souvent 24 heures sur 24), je ne me permets pas de lancer de commentaires en l’air. Aussi, ce n’est pas naturel pour moi d’être critique. Je pense que je vois du bon dans tout et que je suis souvent satisfait avec pas grand-chose. Pas de farce. Exemple, je ne suis jamais déçu d’un film quand je vais au cinéma et tous les disques de U2 sont 5 étoiles sur 5 avants même que je ne les ai entendus.  Vous comprenez ?!? C’est mon côté ti-Guy (mon père). Étant donné que je ne peux pas seulement dire que tous les projets sont ben beaux et ben bons, faut que je me force, que j’aille contre ma nature qui est fondamentalement non critique. C’est bizarre je sais. Je reviens toujours de ces journées complètement crevé (je me couche habituellement vers 20hres ces jours-là). Je suis néanmoins content de le faire. Pour ceux qui se poseraient, non on ne me paie pas pour être critique invité. 

1 commentaires:

Marie a dit…

Moi je suis fière d'avoir du Ti-guy en moi, quoi qu'ya du Jacqueline aussi côté critique... ;P L'avantage de l'optimisme de papa c'est que si tu dis quelque chose, c'est que c'est important, donc l'étudiant va en bénéficier plus tard !